Donner aux hommes qu’on a choisis toute la valeur qu’ils peuvent avoir

La valeur ajoutée est la richesse créée par une organisation.  Par une organisation ou par les hommes qui la composent ? Pour certains, la répartition de la valeur ajoutée est un sujet de conflits entre les parties prenantes : salariés, actionnaires, banques, état, etc.

Réconcilions tout le monde : toute société  acquiert un avantage concurrentiel en investissant dans le développement de ses hommes. Les investisseurs, en coté comme en private equity, reconnaissent l’impact d’une équipe impliquée et de leaders talentueux sur la productivité et la performance d’une entreprise.
Tout le sujet, et on le retrouve dans les critères ESG, est d’améliorer l’expérience des employés. De l’alignement des intérêts des dirigeants pour qu’ils apportent un maximum de valeur à l’organisation jusqu’à à la redistribution aux équipes par les mécanismes d’épargne salariale : le cercle vertueux du partage de la valeur permet de créer de une richesse respectueuse du travail des hommes. C’est l’objet des exigences sociétales et de gouvernance de notre société.

Selon l’étude sur la « création de valeur dans les PME et les ETI Françaises accompagnées dans leur transformation par les acteurs français du capital-investissement » , la création de valeur s’explique principalement par l’effet résultat, c’est-à-dire le développement de l’activité de l’entreprise (hausse de l’EBE, Excédent Brut d’Exploitation). La croissance organique des revenus est prépondérante dans la hausse de l’EBE (60% de l’effet résultat).
En somme, le succès d’une entreprise repose avant tout sur les hommes. Comme le disait Napoléon : « L’art le plus difficile n’est pas de choisir les hommes mais de donner aux hommes qu’on a choisis toute la valeur qu’ils peuvent avoir « .